
(Spoiler : on ne se nourrit pas uniquement de brocolis vapeur)
Quand Jules a été diagnostiqué diabétique, on s’est posé LA grande question :
“Mais on va lui cuisiner quoi… tous les jours ?”
On imaginait des menus ultra stricts, des calculs de glucides à chaque bouchée, des “non” à longueur de journée…
Et finalement ? On a trouvé notre rythme. Voici comment on s’organise pour que les repas restent un plaisir, même avec le diabète.
🍽️ 1. On a revu nos bases (mais pas tout jeté)
Pas besoin de tout réinventer.
On a juste appris à :
- enlever le sucre raffiné
- privilégier les fibres
- équilibrer les portions de glucides
Par exemple :
- Les pâtes ? Oui, mais complètes, et pas à volonté
- Le riz ? OK, si on l’associe à des légumes
- Le pain ? Surtout s’il est intégral, au levain
👉 La Fédération Française des Diabétiques explique très bien comment équilibrer les glucides ici
🥗 2. Les assiettes de Jules : simples, mais futées
On essaie de composer chaque repas avec :
- 🥦 1/2 légumes (cuits ou crus)
- 🍗 1/4 protéines (œufs, poulet, tofu…)
- 🍚 1/4 féculents à IG bas (lentilles, patates douces, riz basmati)
Et surtout :
🕒 On garde des horaires stables. Ça aide beaucoup pour gérer sa glycémie.
👉 Voir les conseils officiels sur les index glycémiques
🍓 3. Le goûter, notre petit défi quotidien
C’est le moment critique. Avant, c’était biscuits, jus, gâteaux.
Aujourd’hui ? On a des alternatives qui font le job :
- compote maison sans sucre
- banane + poignée de noix
- pain complet + purée d’amande
- yaourt nature avec un peu de cannelle
Et on a toujours une “recette maison” prête dans le congélo (muffin à la patate douce, banana bread…).
🍲 4. Les repas en famille : tout le monde s’y met
On ne fait pas “un menu pour Jules et un autre pour nous”.
La table, c’est un moment de partage, pas d’isolement.
Alors on a juste adapté nos recettes pour qu’elles conviennent à tout le monde.
Et honnêtement ? On mange tous mieux.
👉 D’ailleurs, si tu veux voir pourquoi on a pris cette décision, on te raconte tout ici :
→ Notre déclic : le diagnostic de Jules
🧁 5. On ne pèse pas tout (mais on reste attentifs)
On ne vit pas avec une balance à la main.
Mais on a appris à estimer, à reconnaître les signes, à ajuster.
Et surtout : on écoute Jules. Il sait dire quand “ça va” ou “ça ne va pas”.
En conclusion?
Les repas ne sont pas devenus un cauchemar.
Ils sont devenus une occasion d’échanger, d’apprendre, et d’être créatifs.
Et quand on galère ? On se rappelle que chaque jour sans hyper (ou hypo) est déjà une victoire.
🔁 Tu veux en savoir plus sur notre quotidien avec le diabète ?
👉 Découvre les autres articles du dossier : Le quotidien avec un enfant diabétique
📌 Et si tu veux comprendre notre parcours depuis le début :
👉 Vivre sans sucre en famille – Notre histoire & nos astuces

Responsable éditorial & Créateur de recettes familiales
Marc a suivi un parcours académique classique dans le domaine de la gestion. Après des études en administration des entreprises, il a intégré une entreprise de taille moyenne dans laquelle il évolue aujourd’hui comme cadre. Organisé, curieux et rigoureux, il aime relever les défis, y compris en cuisine !
Bien qu’il n’ait pas de formation culinaire, Marc s’est découvert une vraie passion pour la cuisine en devenant père. Il y voit une manière de prendre soin de sa famille tout en explorant des recettes venues d’ailleurs. Pour lui, cuisiner est devenu un moment de détente et de transmission.